| Sujet: (M/LIBRE) AU CHOIX Dim 27 Sep - 12:45 | |
| - colin - Wake up, feeling the cold in between our toes Is there a way back? Nobody knows. -------------------- nom complet: Colin (négociable), nom au choix. âge, date et lieu de naissance : trente-trois ans, date & lieu de naissance au choix. nationalité et origines: il est anglais, origines au choix. métier/études: au choix. orientation sexuelle: hétérosexuel. statut civil: au choix. statut familial: au choix (£ à £££). traits de caractère: attentionné, loyal, empoté, extraverti, gamin, boudeur, dramatique, plein de vie, un peu bizarre. groupe: au choix. avatar: au choix (quelques idées plus bas). crédits: colinmorgan.tumblr. ★ at the end of the day. L'histoire de Colin est très flexible et c'est le but. Je veux que vous puissiez vous approprier le personnage à votre sauce. Je vous mets quand même ci-dessous quelques points que je juge importants.
Colin a une sœur de deux ans sa cadette, Aly. Sa famille a emménagé à Bristol quand il avait cinq ans. Il est très curieux et s'émerveille de tout. C'est vraiment un enfant dans sa tête, et il agit comme tel. On ne sait jamais à quoi s'attendre avec lui. Il a d'ailleurs toujours un tas d'idées farfelues. Tout comme Fergus, il a un don pour s'attirer des ennuis. Je ne vois pas du tout d'inconvénient à ce qu'il ait déjà fondé sa petite famille, mais dans ce cas-là, il ne débarque pas tout seul à Whitby. C'est un homme droit, très près des siens, il ne pourrait pas partir sans sa femme/fiancée/copine et/ou son/ses enfants. À savoir : Fergus est sorti avec Aly pendant dix ans, jusqu'à ce qu'elle le trompe (il y a huit-neuf mois). ★ no place in heaven. FERGUS OAKEN ◦ bromance. En résumé : Colin et Fergus se connaissent depuis qu'ils ont cinq ans et sont très rapidement devenus les meilleurs amis du monde. Ils ont toujours été là l'un pour l'autre, que ce soit dans leurs succès, leurs coups durs ou encore leurs conneries. Parce que le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils en ont fait des conneries tous les deux. Ils se comprennent comme personne ne peut les comprendre et c'est d'ailleurs ce qui fait leur union. L'un ne va pas sans l'autre. Du coup, quand Fergus a décidé de partir à la recherche de ses racines et a posé ses valises à Whitby, Colin a suivi. Il aura tenu trois semaines sans son meilleur ami.
- parties de ma fiche - la version longue:
Tu entres timidement dans la salle de classe, les yeux rivés sur tes pieds. Tu peux sentir que tous les regards sont tournés vers toi, et ça te gêne. Tes joues s'empourprent un peu plus à chaque seconde qui passe. La maîtresse te présente aux autres rapidement. Elle ne dit pas grand-chose. Elle ne sait pas grand-chose non plus. Seulement ton nom, ton prénom et d'où tu viens. Elle te demande d'aller t'installer à côté d'un garçon qui s'appelle Colin, mais tu ne bouges pas. Tu n'as toujours pas relevé les yeux. Tu n'as pas envie d'être ici. Tu veux retrouver ta maman et rentrer chez vous, à Robin Hood's Bay. Bristol, ce n'est pas chez toi. Tes pieds sont comme cloués au sol, et tu as envie de pleurer, tu peux même sentir des larmes perler au coin de tes yeux. Seulement, une main se glisse dans la tienne. Tu sursautes presque à ce contact inattendu. Tu relèves un tout petit peu la tête ; un garçon de quelques centimètres de plus que toi te sourit puis te tire par la main. Tu le suis totalement hypnotisé. Tu n'entends pas les chuchotements des autres élèves qui se demandent ce qui cloche chez toi. Tu t'installes là où il te dit de t’asseoir. Tu n'as toujours pas décroché un mot. « Fergus, hein ? Moi, c'est Colin. » chuchote-il « Je sais ce que ça fait d'être nouveau. T'en fais pas, ça va bien se passer. » Tu tentes un petit sourire. « Gu … Gus. » Tu aurais aimé développer plus, lui dire que c'est comme ça qu'on t'appelle en général et que c'est ce que tu préfères, mais la maîtresse t'interrompt. « Un peu de silence s'il vous plaît ! » s'exclame-t-elle à la classe trop bruyante à son goût. Avant de se concentrer à nouveau sur le tableau, Colin te glisse quelques dernières paroles : « Tu vas voir Gusgus, on va devenir des super-copains tous les deux. » Gusgus ? Tu ne t'y attendais pas, mais ça te fait sourire. Et puis dans le fond, tu t'en fiches un peu de comment il peut t'appeler, ce Colin, il veut être ton copain, et c'est tout ce qui t'importe. ☆☆☆
Assis dans les gradins du terrain de la crosse, tu te retiens de rire du mieux que tu peux devant les singeries de Colin. Ce qui t'amuse le plus, c'est que tu sais à quel point il est concentré. Pourtant rien n'y fait. Faut dire qu'il n'est vraiment pas sportif. Un gars de l'équipe s'approche de toi, un point d'interrogation sur le visage. « Dis-moi, il est vraiment sérieux ton pote ? Tu lui as expliqué que le but, c'est de faire gagner son équipe ? » Un sourire moqueur s'affiche sur son visage, mais il le ravale bien vite à la vue de ta tête. Tu n'aimes pas qu'on se moque de Colin. Tu es le seul à avoir le droit de te foutre de lui. Il n'est peut-être pas très doué, il a peut-être deux pieds gauches, mais c'est ton meilleur ami. Tu reportes ton attention sur le terrain. Oulah, il vacille. Un peu à gauche. Un peu à droite. Tu sens la chute arriver. Trois. Deux. Un. Pouf. Le nez dans l'herbe. Aly, assise quelques rangs plus haut, se lève d'un coup et se précipite sur le terrain. Les gars rigolent, sans grande surprise. « Oaken, tu t'bouges ?! » Tu soupires avant de rejoindre la sœur de ton meilleur ami pour lui filer un coup de main. Parfois, tu te demandes si elle fait exprès de lui foutre la honte. Non sérieusement, c'est déjà assez embarrassant pour Colin de se casser la gueule devant tout le monde, il n'a vraiment pas besoin de sa sœur qui vole à son secours. Tu attrapes l'un des bras de Colin et l'embarque avec toi en snobant totalement Aly, ce qu'elle ne semble pas très bien prendre … mais tu t'en balances totalement. « Ils ne m'accepteront jamais dans l'équipe ... » chouine Colin alors que tu l'emmènes dans les vestiaires. « Pourtant, j'ai suivi tous tes conseils ! J'ai pensé à tout ce que tu m'as dit quand on s’entraînait tous les deux. » Tu hausses les épaules. Tu ne sais pas trop quoi lui dire. Tu sais qu'il a fait de son mieux, pourtant tu sais aussi que pour les autres membres de l'équipe et le coach, ça ne sera pas suffisant. « Tu as pensé à essayer quelque chose de moins … physique? » Il lève les yeux vers toi, puis les baisse à nouveau et soupire bruyamment. Pendant qu'il se douche et se change, toi, tu attends tranquillement sur le banc. « Dis-moi, ta sœur, c'est une passion chez elle de se comporter en maman poule ? » demandes-tu agacé. Tu ne sais pas pourquoi mais cette nana te rend dingue. Tu la connais depuis aussi longtemps que tu connais Colin, mais tu ne l'as jamais trouvée aussi chiante que ces derniers temps. Des claques qui se perdent, c'est ce que tu te répètes dès que tu la croises. « J'sais pas. J'crois que c'est devenu une femme, c'pour ça. » Tu grimaces. Cette nana, ce n'est pas une femme, c'est un monstre. Colin apparaît devant toi, habillé et près à retourner en cours. « Tu veux en connaître une bonne ? » Tu arques un sourcil. « Je l'ai entendue dire à l'une de ses copines qu'elle t'aimait bien. » Tu ouvres de grands yeux alors que ton meilleur ami affiche un grand sourire de vainqueur. Tu as du mal à savoir s'il se paye ta tête ou s'il se fout juste de ta gueule parce qu'il sait ce que tu penses de sa sœur. Dans tous les cas, tu exploses de rire. Aly et toi ? Même pas en rêve ! « Bon aller, arrête tes conneries. On y va ? » Il acquiesce d'un hochement de tête, sans pour autant perdre son grand sourire.
☆☆☆
Tes yeux s'ouvrent péniblement. Tu roules tout doucement sur le dos. Tu poses délicatement une main sur ta tête affreusement douloureuse. Tu réalises rapidement que quelqu'un se tient debout, juste à côté du lit. Tu clignes des yeux, tout est flou. « Tiens. » te chuchote une voix. Tu attrapes ce qu'on te tend. Tes lunettes. Tu les poses sur ton nez et prends progressivement tes marques. Ce n'est pas ta chambre – beaucoup trop rose pour toi – mais tu n'es pas non plus en terre inconnue. Colin est la personne qui se tient à côté de toi. Devant ton air perdu, il soupire. « Dois-je te remémorer la soirée ? » Tu hoches la tête … erreur fatale. Tu fermes les yeux et lèves ton index comme pour voir si ça va te passer ou non. Hm … non. Tu te lèves en catastrophe, direction les toilettes. Alors que tu es en train de mourir au dessus de la cuvette, Colin t'apporte une bouteille d'eau et s'assoit dans le couloir. « En résumé, tu as pris la cuite du siècle et tu as couché avec Aly. » Tu relèves la tête. « J'ai fait qu ... » Tu n'as pas le temps de finir ta phrase que tu retrouves ta position initiale. Le yéti. Tu as couché avec le Yéti. Tu as franchement du mal à y croire. Tu attrapes la bouteille d'eau et avales quelques gorgées. Tu tires la chasse et appuies ton dos contre le mur. « Sérieusement ? » demandes-tu comme si tu t'attendais à ce que Colin avoue t'avoir fait une blague. « Ouep ! » Tu ne réalises que maintenant que ton meilleur ami sourit bêtement. C'est qu'il se fout de ta gueule ce con ! « Ça te fait rire ? » Il hausse les épaules. « Bah ouais. » Tu arques un sourcil. « Je couche avec ta sœur et ça te fait rire ? Mais t'es bizarre ! » Bon, ça ce n'est pas nouveau, tu le savais déjà, mais ça te perturbe que ça ne le perturbe pas. « Tout le monde sait depuis belle lurette qu'Aly en pince pour toi. Alors vu l'état dans lequel vous étiez hier soir, ce n'est vraiment pas une surprise que ça se soit terminé comme ça. Et puis, mieux vaut toi qu'un autre ... » Son sourire s'étend un petit peu plus. « Quoi ? » « Rien. » Tu lèves les yeux au ciel. « Pas à moi, s'te plaît. » « Rien, je trouve juste ça marrant qu'Aly soit celle qui se soit tirée en douce ce matin. J'aurais plutôt pensé que ce serait l'inverse. » Hm … Tu plies tes jambes, t'appuies sur tes mains et pousse de toutes tes forces pour te relever. Colin attrape ton bras et tu le remercies du regard, car sans lui, tu ne te serais jamais retrouvé sur tes deux pattes du premier coup. « Je … je vais rentrer. » Tu as besoin de digérer toutes ces informations, et puis surtout, tu as besoin de dormir. Colin se marre. « Tiens, prend la bouteille d'eau, tu vas en avoir besoin. » Tu grimaces, mais la prends quand même, la serres contre toi comme un enfant serrerait son doudou et marches au ralenti vers la porte de l'appartement. « Gusgus ... » Tu te retournes. « Tu veux peut-être t'habiller avant de rentrer ? » Tu baisses les yeux et te rends compte que tu es nu comme un vers. Colin ? Il est écroulé de rire, bien évidemment. Toi ? Tu as totalement la tête dans le cul!
☆☆☆
« Un expresso et un thé au jasmin, s'il vous plaît. » La serveuse te sourit. « Je vous apporte ça tout de suite. » Tu lui rends son sourire, puis retourne t'asseoir en face de ton meilleur ami. « Alors, t'as trouvé la bague ? » te demande-t-il, curieux. Tu farfouilles dans la poche intérieure de ta veste et en sort une petite boîte que tu poses sur la table. Colin l'attrape et l'ouvre, puis soudain il se lève et hurle : « Mais combien de fois faudra-t-il que je te dise que je ne suis pas gay ?! » Tous les yeux du cafés sont braqués sur vous, et tu lui assènes une tape à l'arrière du crane. « Aïeuh ! » Tu secoues la tête en rigolant. « Sérieusement ? » Il s'esclaffe, tout fier de lui. « Je me suis laissé emporter. Désolé. » Tu sais très bien qu'il n'est pas désolé, mais tu ne dis rien. En même temps, tu aurais pu t'y attendre. C'était du Colin tout craché. La serveuse vous apporte vos boissons, et Colin te rend la bague. « Elle est vraiment belle. » dit-elle avec un sourire avant de partir vers une autre table. « Elle n'a pas tort. T'as pas lésiné sur les moyens. » À l'entendre, on dirait presque que t'es radin. Tu lèves les yeux au ciel. « Tu sais, j'ai toujours su que tu finirais avec ma sœur, même quand tu l'appelais encore le Yéti. J'avais jamais vu une nana te rendre aussi chèvre qu'elle. Faut croire que pour te séduire, faut te faire méga chier en fait. » Il boit une gorgée de son thé, puis commence à s'agiter dans tous les sens. Il s'est brûlé, pour changer. Toi, tu restes silencieux. Tu ne sais pas s'il a raison ou tort, une chose est sûre : si on t'avait dit au lycée que tu finirais avec Aly, tu ne l'aurais jamais cru. Tu ne sais toujours pas ce qu'il s'est passé d'ailleurs. Tu as couché avec elle le soir de tes vingt-et-un ans, elle s'est mise à t'éviter et tu t'es rendu compte qu'elle te manquait. Tu ne sais pas à quel moment, tu as commencé à éprouver des sentiments pour elle. Le fait est que ces sentiments sont bien là. Tu l'aimes. Tu aimes le Yéti. « D'ailleurs, tu comptes la faire quand ta demande ? Non, parce qu'elle te trouve bizarre en ce moment, elle a même utilisé le mot 'distant' et tu sais que quand elle se pose trop de questions, elle devient archi parano. » Là, tu sais qu'il a raison. Ça a beau faire dix ans que vous êtes ensemble, il y a quand même des moments où elle doute de toi. Faut dire qu'elle a ses raisons. Ça fait quand même dix ans que vous êtes ensemble et ce n'est que maintenant que tu penses à l'épouser. Mais bon, tu es lent, c'est comme ça. « Ce soir. En rentrant, je préparerai l'appartement et comme ça, quand elle rentrera du boulot, tout sera prêt. » Tu bois d'une traite ta tasse de café, ça te brûle un peu la gorge, mais tu as l'habitude, et puis tu aimes bien cette sensation. « Tu n'es pas de garde ce soir ? » Tu secoues la tête. « Non, j'ai échangé mes heures avec Chucky. » Colin acquiesce d'un signe de tête, il a l'air satisfait.
☆☆☆
L'année a été rude pour toi. Après ta rupture avec Aly, l'état de ta mère s'est aggravé. Tu es resté le plus possible à ses côtés, tu as tout fait pour alléger ses souffrances, mais surtout, tu lui as montré à quel point elle comptait pour toi et ce jusqu'à la fin. Elle est partie pendant son sommeil – la mort que tu espérais pour elle. Pour te consoler, tu te dis qu'au moins maintenant, elle ne souffrira plus. Toi, par contre, c'est une autre histoire. Mais comme on dit, le temps panse les blessures. Ce sera long, mais tu t'en sortiras. Ce matin, le notaire t'a appris qu'elle te léguait toute sa petite fortune, mais surtout, il t'a remis une lettre que ta mère voulait que tu aies à sa mort. Depuis plus d'une heure, tu fixes ce petit bout de papier posé sur la table basse, n'osant pas l'ouvrir. Colin est à côté de toi sur le canapé. Il ne compte pas te presser. Il attend simplement que tu sois prêt. Tu finis par attraper la petite enveloppe, puis la lui tends. « Tu es sûr ? » te demande-t-il, mais tu en es sûr. Tu acquiesces. Il l'ouvre, sort la lettre de son emballage puis la déplie. « Mon cher Fergus, commence-t-il à lire, si tu lis cette lettre, c'est que je ne suis plus de ce monde. Sache, mon fils, que je t'ai aimé de tout mon cœur et que tu es la plus belle chose qui me soit jamais arrivée. Telle que je me connais, il y a quelque chose que j'aurai dû te dire il y a bien longtemps, mais que je n'ai jamais eu le courage de t'avouer. Et c'est un secret que je refuse d'emporter dans ma tombe. Car après tout, tu as le droit de savoir. Ton père est vivant. Tout ce que j'ai pu te dire à son sujet est faux, si ce n'est que je l'ai vraiment aimé et que je le considérais comme l'homme de ma vie. Je n'étais simplement pas la femme de sa vie. En réalité, il était déjà marié quand je l'ai rencontré. Quand je suis tombée enceinte, il a paniqué, il s'est dit que ce serait bien trop difficile à gérer pour lui alors il a pris la fuite. Je t'ai menti pour te protéger. C'était peut-être une erreur, je ne sais pas, mais j'en assume l'entière responsabilité. J'espère, mon fils, que tu sauras me pardonner. Curieux comme tu es, tu auras sûrement envie de le rencontrer ou au moins, de savoir qui il est. Son nom est Lowry, et il vit à Whitby, une petite ville pas très loin de Robin Hood's Bay. N'oublie jamais qui tu es et à quel point tu as égayé ma vie. Ta mère qui t'aime. Ps – Colin, je compte sur toi pour veiller sur lui en mon absence. » Colin esquisse un sourire en lisant cette dernière ligne. Toi, par contre, tu restes de marbre. Tu ne sais pas comment le prendre. Tu n'en crois pas tes oreilles, en fait. Tu n'arrives pas à te dire que ta mère qui prônait l'honnêteté puisse te mentir de la sorte. Tu tombes de haut. Cependant, elle a raison, tu ne vas pas pouvoir t'empêcher d'aller faire ton curieux. Maintenant que tu sais qu'il est vivant et où le chercher, tu ne vas pas te gêner. « Ça va aller ? » te demande ton meilleur ami. Tu hoches la tête. « Ouais, ça ira. Même si elle dit m'avoir menti pour me protéger, je sais que c'était pour se protéger elle-même. Et ça, c'est quelque chose que je peux comprendre. » Colin acquiesce. « Donc direction Whitby ? » Tu claques tes mains sur tes genoux et te lève. « Je crois bien, oui. » Colin te sourit tristement, et tu l'imites. Qu'est-ce qu'il va te manquer.
oui, je sais, c'est quasiment toute ma fiche. mais colin y est absolument partout, pour vous dire l'importance qu'il a.
Dernière édition par Fergus Oaken le Dim 27 Sep - 12:49, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: (M/LIBRE) AU CHOIX Dim 27 Sep - 12:49 | |
| bonjour, bonjour. tout d'abord, je vous remercie d'avoir lu mon scénario et de vous y intéresser – si jamais il vous intéresse et que vous l'avez lu. je ne suis pas très exigeante, je vous rassure, mais j'ai quand même quelques petits points à préciser. l'avatar + j'avais pensé à colin morgan, seulement, comme je sais qu'il est très peu vu, je ne me vois pas vous l'imposer. je recherche quand même quelqu'un dans le même style - ou pas, j'vous dis j'suis pas chiante en vrai . si vous pouviez juste éviter les mannequins, ce serait top. (P.S : je me réserve un droit de véto, sait-on jamais. ) le pseudo, l'histoire et le lien + comme dit précédemment, le pseudo est modifiable et l'histoire très libre. Par contre, je tiens vraiment au lien, donc bien évidemment, il n'est pas négociable. après, quant à l'activité, je ne pense pas avoir besoin de vous dire que je ne veux pas de quelqu'un qui prend ce scénario pour disparaître ensuite. pour l'orthographe, je fais assez attention aux fautes, mais je ne suis pas un tyran non-plus. à savoir : si vous avez peur des partenaires de rp qui écrivent à la 2ème personne, pas de panique, je peux aussi écrire à la 1ère et à la 3ème (je précise au cas où). Voilà, voilà. Je ne crois pas avoir quoi que ce soit à ajouter … alors craque. |
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