| Sujet: (M/LIBRE) JACK O'CONNELL Ven 28 Aoû - 23:14 | |
| - Boyd nom - How could a heart like yours ever love a heart like mine -------------------- nom complet: complètement au choix, Boyd c'est juste pour les besoins du scénarioâge, date et lieu de naissance : entre vingt quatre et vingt six ans le reste est au choix. Ceci dit, j'avais pensé qu'il aurait pu débarquer à Whitby pour vivre chez un oncle, bosser avec lui quelque part dans une fabrique ou au port. nationalité et origines: complètement au choix ( anglais, irlandais, écossais) métier/études: un peu de tout, surtout les métiers où le légal est assassiné à coup d'ivresse des interdits. Les combines, le recèle. Il touche à tout sauf aux bons trucs. Pourtant, ses parents l'ont élevé dans un milieu plutôt moyen. Boyd, il n'en fait toujours qu'à sa tête. orientation sexuelle: femmes statut civil: s'il se dit à toutes et à personne, parfois et trop souvent à son goût ( depuis trop longtemps, surtout), il se retrouve à graviter dans la même orbite qu'elle. Puis, il se donne des droits sur tout ce qui la concerne. statut familial: au choix, je vois quand même un parent ayant un métier plus que correct mais, ayant quitté tôt le domicile, préférant vivre sa vie. Le reste est au choix, je ne veux absolument rien t'imposer. traits de caractère: disons qu'il serait impulsif, possessif, protecteur, blagueur, grossier, toutefois, il aurait un côté généreux, loyal envers ses potes, pas mièvre cela dit. Le reste, je ne veux pas t'imposer trop de choses. groupe: au choix avatar: jack o'connell crédits: owners ★ at the end of the day. Boyd il a toujours la rage, toujours paradoxalement un sourire accroché aux lèvres. Il a les yeux qui pétillent et la certitude qu'un jour ça ira mieux. Du moins, avant, il pensait ça. Maintenant, il y croit plus trop. A savoir, l'histoire est libre, simplement, il aurait fait plusieurs séjours courts en prison, le plus long aurait duré deux ans. A sa sortie, un règlement de compte ( une bagnole le percutant) lui aurait laissé quelques séquelles, notamment des difficultés d'élocution, une incapacité à retrouver ses mots , un oeil inapte et une jambe raide. Bref, ça aussi c'est négociable, il pourrait être amoché sans que ça ne soit définitif. Il est de retour chez son oncle, la seule famille qui l'accepte avec ses travers. De retour en ayant la ferme intention de se ranger, de toute façon quelles sont ses options ? Il est surtout de retour dans la vie de Beth. ★ no place in heaven. BETH COMRIE ◦ tough love - anecdote:
« Et alors quoi ? » il lance, cet enfoiré de première, un sourire de canaille aux lèvres. Il la snobe, il lui fait comprendre, Boyd, avec son insolente nonchalance qu'il n'en a strictement rien à foutre de ses petites pensées délicates, des incertitudes de midinette. Lui, il a bien mieux à faire qu'emprunter 4 chemins pour lui faire comprendre que c'est avec elle, qu'il se voit passer la soirée, la journée, des années ou pas. Si Beth est franche, à ses côtés elle se retrouve dépassée, elle se découvre pas si sûre d'elle. Il fait ressortir les bons comme les mauvais cotés, il lui fait quelque chose. Au cœur. « T'es qu'un con » elle s'éloigne, crachant ces paroles avec acidité, monsieur « j'ordonne ». Mademoiselle en a ras le bol. C'est fini. Elle efface son numéro, elle le raye de sa vie. Un an où il fait de même. Non, il ne lui enverra aucun sms, non, il ne l'attendra pas à la sortie des cours, non, il ne traînera pas là où elle a ses habitudes juste pour. Juste pour la croiser. Non, promis, juré. Très vite oublié. Une année, une éternité. S'il ne fait pas parti de la congrégation, s'il n'est plus très sûr de croire en quoique ce soit, il se pointe, s’assoit à trois rangées d'elle. Trois vulgaires rangées comme trois kilomètres. Mais, même à des années lumière, elle le voit. Elle distingue d'abord les contours de son visage imparfait. Elle le sent. C'est plus fort qu'elle. Ce bandit débarqué pour lui en envoyer plein la figure. Une année sans se parler, une année, toute une vie. Elle ferme les paupières, Beth. Devant ses yeux, elle revoit. La nuit de leur rencontre, deux ans plus tôt, une altercation entre jeunes, lui, impliqué. Juste un regard échangé. Juste un contact. Un rien. Elle revoit les fois où elle l'a croisé, sans le voir, sans vouloir mais en sachant, au fond, en le reconnaissant ce con. Elle repense à leur première discussion, à leur premier baiser, à leur première dispute, à leurs premières insultes. Au premiers accords de leurs deux corps, l'un contre l'autre. Elle le ressent comme un coup de poing aux tripes. Comme un pincement au cœur. Comme une douleur bien trop vive. Avec stupeur. Et lui, il la regarde, lui, il la poignarde, avec ses deux billes, intenses et animales. Tout passe dans un regard. Tous les mots non dits, tous les gestes désappris, ils se maudissent mais surtout, ils se disent des choses, les promettent. A nouveau. Il l'attend pas loin, encore. « Non, va te faire foutre ». Un non qui sonne comme un oui non assumé, la voix qui tremble. Un non. Bien sur que oui. « J'fais l'premier pas, Beth » - il lance, menaçant, l'air de dire : attention. « crache pas dans la soupe ». Crache pas sur moi. Ça lui coûte déjà assez. « Tu fais le premier pas ? Je rêve, c'est tout ce que tu trouves à dire après j'sais pas combien de mois de retard ?». Un an de retard, gifle en pleine figure. « Comme tu veux ». Il n'insistera pas plus. Il n'insistera pas, Beth le sait. C'est ce qui gêne, toujours. Ses parents ont apprécié, le départ de monsieur de sa vie bien rangée. Ils aimaient pas trop le bordel qu'il y foutait. « Et tu pars, encore ». « C'est pas qui je pense que c'est, Beth ? » lui lance sa meilleure amie. Si. C'est celui auquel elle pense. Si, c'est lui. Le sang bat trop à ses tempes, le souffle lui manque. Alors, encore un mois, un mois à se tuer, à s’entre-tuer, en s'ignorant, en se cherchant , en se cherchant pour s'ignorer. Violemment. Elle connaît, elle connaît ses secrets et inversement. Inversement, pas proportionnel. Et un soir, tard, il entend toquer à sa porte, dans son quartier d'affamés. Bien sûr que c'est elle. Bien sûr, il le sait. « Et tu crois que j'vais t'accepter ? ». Elle s'en fiche. Elle le sait. Il la sait. C'est tout. C'est comme ça. Mais il déconne à nouveau, va encore faire un séjour derrière les barreaux. Et cette fois-ci, elle se jure de ne pas succomber connement, à ses paroles de rapace, à ses sourires carnassiers, à lui , à son entièreté, à sa façon de toujours lui montrer les revers, les lui faire encaisser. Mais à son (énième retour) , Boyd c'est plus Boyd, il est en pièces détachées. Et Beth qui n'a que l'amertume du temps qui s'est écoulé à lui offrir. Ils vont se déchirer, c'est sûr.
Ils n'ont jamais réellement été en couple. Parce qu'ils aiment pas les étiquettes, les étiquettes, ça gratte. Ils n'ont jamais réellement été un couple, encore moins "ce" couple. Le genre à se bécoter en se lançant des je t'aime, des "mon soleil". Ils sont pas vraiment doués pour le sentimentalisme et ne possèdent clairement pas la fibre finesse. Ils donnent pas dans la dentelle et sont complètement dysfonctionnels. Beth ne l'avouera jamais mais derrière les insultes qu'elle balance, y'a des mots doux qui se cachent. Y'a l'envie d'avoir une réelle attache et pas que. Pas que les yeux pour pleurer les multitudes de départs. - les attentes:
tout est négociable, du pseudo à l'avatar, seul le lien ne l'est pas. C'est ambigue entre eux, c'est explosif, pas fade, c'est toujours sans dessus dessous, des cris, des boutades, des confessions voilées, des vérités planquées, les mots qu'ils ne maîtrisent pas, les sentiments qu'ils ne maitrisent pas, ils ne maitrisent rien, d'ailleurs, ils foirent à peu près tout ce qu'ils font. Ils sont plutôt néfastes mais, qu'est-ce qu'ils peuvent y faire contre les lois de l'attraction ? En ce qui concerne la qualité, la quantité - franchement, qui peut se targuer d'être shakespeare dans le coin ? allez viens, j'sais faire des cookies
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| Sujet: Re: (M/LIBRE) JACK O'CONNELL Jeu 3 Sep - 19:17 | |
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