replace me

Invité

- BETHANY-JULES COMRIE-
Who says we're wrong for
Opening the wrong doors
Lock up, swallow the key
You'll never replace me

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nom complet:Bethany-Jules, collé, ça se contracte, ça coupe, Beth, circoncision de premier choix. Juste un surnom que tout le monde utilise, d'ailleurs, jusqu'à ses dix ans, elle pensait qu'elle s'appelait comme ça. Que c'était un prénom normal, courant, en vogue ( surement le sera-t-il lorsque le couple brangelina le filera au prochain enfant qu'il adoptera...). D'ailleurs, certains de ses amis sont persuadés que Beth c'est juste Beth (surtout ceux qui n'ont pas la lumière à tous les étages), on s'arrête là, disons que c'est nettement plus pratique. Comie - ça pue la tasse de thé noyé dans du lait en se donnant du "ma chère" même si ça a la couleur du chardon.âge, date et lieu de naissance :vingt et un ballets, les années ont défilé, elle sait pas trop comment et rien ne se passe au fin fond de Whitby. Vingt et un ans facilement vingt trois voire même vingt quatre lorsqu'il est question de draguer de l'homme mûr forgé d'une morale le poussant à ne pas faire la sortie des lycées. D'ailleurs, elle adore les godasses éditions limitées, n'hésitez pas à vous montrer particulièrement généreux avec sa seigneurie. Sinon, l'important c'est de retenir que c'est une fille du pays. Elle a surement retourné toute la maternité avec ses cris lorsqu'elle est venue au monde à Whitby - en année bissextile, bonjour les anniversaires de taré .nationalité et origines: ça accroche fièrement l'union jack dans le sous sol aménagé en salle de jeu ( vétuste, vraiment, à l'exception du plasma de papa et de son mini frigo d'bières) - ça fête aussi la St Patrick, à l'occasion lorsque maman est contente d'être rousse (après avoir passé les vingt premières années de sa vie à détester la couleur). C'est surtout du nord, mesdames et messieurs. ça a du sel dans les cheveux, du sable entre les orteils et la carnation porcelaine de ceux qui voient le soleil occasionnellement. métier/études: les études ça coûte cher, le système siphonne le peuple jusqu'à la moelle. Elle a pas eu la chance de sortir du vagin d'une Rothschild, alors, forcément. Les voies sont encombrées, les portes toutes fermées. Sauf celle du vieux Watson. C'est bon le poisson décliné à toutes les sauces. Ça récure surtout le réchaud, avec le sourire et un enthousiasme surnaturel. Sûr, Beth est diplômée : l'argent tombe pas des arbres. En tout cas, pas là où elle vit.orientation sexuelle:ne lui parlez surtout pas de néant, elle a pas le moral. les hommes qui insistent pour payer l'addition ne courent pas les rues, malheureusement. Et, ne parlons même pas des raffinés qui semblent avoir fui le territoire. Quant à son cœur, pauvre cœur émietté vendu à un sale rapiat qui a fini derrière les barreaux. Elle cherche tout ce qui ne ressemble pas à son fainéant de père, son sanguin de frère ou à son pd d'oncle. Malheureusement, les enfoirés pullulent.statut civil: qu'est-ce qu'elle a dit ? Question suivante. statut familial: un papa bedonnant et une maman à la permanente ratée, vivant encore sous le même toit, se bécotant comme des adolescents boutonneux, sans aucune gêne - c'est miraculeux à l'ère du "un couple marié sur deux divorce". Il y a un petit frère qui passe une nuit sur deux en garde à vue, pas de sa faute s'il est sanguin, la faute aux gènes et à cette ville qui l'étouffe. Une petite sœur accro aux télé-réalités minables, qui rêve de succéder à la pulpeuse kim k. ( ça va pas aller plus loin que le rêve, c'est une certitude). Un grand-frère issu d'une erreur de jeunesse de son pater, évidemment, c'est ce qui arrive quand on sèche les cours d'éducation sexuelle pour aller socialiser près du vieux port. Niveau thune,ça paie les factures à la maison. ça calme quand la marmaille braille. ça hurle et ça fout des roustes histoire que ça file bien droit. Son conseiller financier l'appelle approximativement trois fois par mois pour lui chanter du " vous ne savez pas gérer votre argent mademoiselle Comrie". C'est normal qu'il n'y ait que lui qui lui offre du mademoiselle ? traits de caractère: Qualité, défaut, c'est subjectif. Beth elle pétille, elle fout du gaz dans les quotidiens , ça explose, ça se la joue perrier, champagne, ça se la joue décadent. Les sourires se distribuent, les regards bienveillants, les salutations des majeurs, aussi, cordialement. Elle aime pas trop la demi mesure, faut dire que papa l'a pas élevé comme ça. Elle rougit pas quand on lui parle des phénomènes naturels, mesdames et messieurs, ouvrez grand les oreilles : chatte, bite. Elle n'a honte de rien ( du moins, presque rien) encourage le monde à s'adapter à son caractère. Elle rouspète, beaucoup mais ne boude jamais. Jamais. Si elle se dit insouciante y'a pas plus réfléchie, plus posée, plus enlisée jusqu'au cou dans un quotidien où il faut constamment trimer pour obtenir ce qu'on veut ( surtout des manolo shoes). groupe: ENGLISH BREAKFASTavatar: Freya Mavorcrédits: écrire ici.

★ dream a little dream of me.
Beth, elle fabrique des savons, des crèmes et des shampoings pour les membres de sa smala, ses amis, les gens qu'elle aime bien ( dès qu'elle vous en fait, soyez certain que vous faites partie de ses p'tits papiers), rêve de pouvoir en faire son métier mais en attendant d'avoir assez de thunes pour ne serait-ce qu'y penser, elle se dépense en multipliant les combines, récente lubie, la vente d'ovule, évidemment, c'est un plan nettement moins foireux que celui de vendre un rein ( un seul suffit, mon oeil et si l'aut' est atrophié ?) mais, elle préfère encore vendre ses cheveux tous les six mois parait que ça sert à faire des moumoutes pour tous les kékés incapables de faire le deuil de leur tignasse puis, c'est rare des cheveux blonds-roux, peuvent pas trouver ça en inde, les coiffeurs-visagistes + Beth, elle faisait partie du club de karaté au lycée alors, avis aux pervers, aux mentaux, essayez donc de la surprendre, vous risqueriez de manger du macadam + Beth conduit une voiture rouillée , c'est sa DeLorean ( une vraie chopée dans le garage d'une vieille tante, retapée, customisée, somme toute, branlante sur les bords). La portière grince, la vitre a du mal à obéir, le moteur chauffe, ça crachote dans les ronds points mais, c'est son bijou alors, gardez tout commentaire désobligeant, merci. + Petite obsession, minuscule obsession, obsession de rien du tout : les chaussures édition limitée et par chaussures, elle veut dire : les Nike. + Mariah Carey et son heartbreaker qu'elle écoute en boucle. D'ailleurs, elle est persuadée qu'elle aura une fille, plus tard et autant le dire : elle s’appellera Mariah. + Elle a le chewing gum qui colle à ses molaires, l'attitude bovine parfois. Quoi ? C'est très Hereford de mâcher du chewing gum et les Hereford sont anglaises. + Y'a que Beth qui ait le droit de critiquer Whitby, l'angleterre. +

★ tell me sweet little lies.

le destin: l'absolu ou une excuse? qu'est-ce qu'elle dit déjà la bible à ce sujet ? Et l'aut' philosophe là ? Pour ma part, je dirai un mélange entre les deux. Solution de facilité, j'ai pas vraiment d'avis à ce sujet, je me déclare blonde. Cependant, j'étudierai bien la question en échange de quelques pounds.
les ingrédients du bonheur: Jack Daniels + Jeremy Irons (jeune) + une Maserati et un boulot d'enfer. Plus quelques bambins çà et là. Mais comme je ne suis pas du tout du genre à viser la lune ( qui croit encore retomber dans les étoiles ?) , je me contenterai d'un simple CDI , d'un petit copain qui ne me prenne pas pour une serpillère et de quelques tickets restau offerts à l'occasion.
rapportez les paroles de l'un de vos proches à votre sujet:" La petite a surement plus de guinness qui coule dans ses veines que d'ambition. Elle s'attire toute la guigne d’Angleterre, surtout les pires vermines et s'éprend toujours du plus mauvais plan du pays. Elle a beau être jolie, on n'est pas sûr que son crâne soit très rempli. Puis, qu'est-ce qu'elle a à toujours gueuler pour se faire entendre ?"
que pensez-vous de little charlie: est-ce que j'en ai quoique ce soit à foutre, c'est bien ça la question ? - Non. Parce que j'ai pas le temps d'accorder mon attention à ce qu'il dit ou fait ou envisage de dire ou faire ou je sais pas moi. Cela dit, parfois, j'y jette un oeil. Ouai, ça me divertit et alors ? C'est pas un crime.

★ scars and souvenirs.

« Hamilton – par les saintes couilles de » ça commence bien, papa hurle un truc depuis le salon, sûrement quelque chose comme : putain, fais attention à ce qui sort de ta bouche ( ironique, bien sûr) – Beth marque une pause, puis poursuit : « sors de là où je te pète les rotules, Hamilton. Pas de rotule, pas de jambe, pas de jambe, pas de foot ». La menace fait mouche une fois sur deux mais, quelque chose lui dit qu'il ne va pas céder facilement, le microbe. Deux minutes défilent, toujours rien. Beth ne lâche jamais l'affaire. Maman passe dans le couloir, la voit là , à faire le pied de grue, sans broncher, elle poursuit son chemin. « Hamilton même si c'est pas ton genre, c'est peut-être le moment d'te mettre à prier parce que dès que ta sale trogne passera le seuil de la salle de bain, je te la refais pas au carré mais au triangle. Déjà que ça s'bouscule pas au portillon, les filles vont hurler sur ton passage » quelque chose comme : crevez-nous les yeux, elle pense, un sourire flottant sur ses lèvres. C'est un gros kiffe, proférer des menaces. Un privilège que seul l'aîné possède. Les cadets doivent se tenir à carreaux s'ils ne tiennent pas à se manger un pain ou deux. « Bon, tu l'auras voulu » Kim k. autrement dit Penny qui se réveille embrumée, en se frottant les yeux, se retrouve à deux doigts de dégringoler les escaliers menant au rez de chaussé lorsque Beth la bouscule dans sa hâte, elle disparaît dans le sous sol – un millième de seconde avant que Hamilton pousse un cri de castra depuis la salle de bain où il s'est enfermé. Papa et maman ours ne cillent pas, l'ambiance est toujours aussi explosive entre les quatre murs de la maison Comrie. Mi casa es su casa, bienvenue chez les échappés d'asile. Beth croise à nouveau Penny ( toujours pas totalement réveillée) qui s'installe à la table de la cuisine, attendant patiemment que maman vienne lui donner la becquée : « Tu t'es lavée l'visage au moins ? » crache Beth, arquant un sourcil, le nez froncé. Ça hoche la tête pour dire que, non. C'est le moment que choisit Beth pour se tourner vers son père qui les a rejoint entre temps. « Tu vois, pa' quand j'te dis qu'il s'agit d'une urgence vitale que tu te débrouilles pour construire une aut' salle de bain, fous-la dans le jardin s'il faut, je me gèlerai les miches en hiver tant qu'il y en a une deuxième , j'm'en cogne ». Évidemment, elle mourra surement de vieillesse avant qu'une quelconque salle de bain ne soit ajoutée au plan. Il y a surement plus de chance qu'il pleuve des smarties, aussi. Fainéantise pullule comme une maladie vénérienne chez les Comrie (côté homme, du moins) tout comme les poches trouées.

pseudo/prénom: n. dusty.âge et pays: france aux dernières nouvellesconnexions: un jour sur deux.commentaires sur le forum: perfection :keur: